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Salut, ici Mélanie Nadeau
J’ai envie de vous partager ici mon parcours, notamment les raisons qui m’ont poussées à davantage prendre soin de moi à travers les années. En fait, je vais vous faire part de quelques difficultés, finalement tellement banales et rencontrées par beaucoup, que j’ai eu à surmonter et les apprentissages que j’en ai tirés. J’aimerais vous dire d’entrée de jeu que les 35 premières années de ma vie ont été marquées par une faible estime de moi-même notamment par un malheureux sentiment de « ne pas être assez » ou « d’être moins bonne que» Je me suis longtemps privée d’un plein épanouissement parce que je ne me reconnaissais pas à ma juste valeur et parce que je me comparais aux autres. En fait, j’étais heureuse, mais prisonnière de mes démons du passé, de l’identité que je m’étais forgée enfant, plus particulièrement de mes croyances limitantes, mais j’en n’étais pas consciente jusqu’à ce que je comprenne le fonctionnement du cerveau humain. Voici le genre de phrase que je me suis répétée à maintes reprises de l’enfance à l’âge adulte de façon tout à fait inconsciente : « Je ne suis pas bonne dans les sports, je parle mal, je ne suis pas bonne en math, mon chum a plus le tour que moi avec les enfant, j’aurais dû dire cela pendant ma rencontre, j’ai trop pris de place ce soir, etc. Écrire ces lignes aujourd’hui me donne encore des frissons. Ça me touche de voir à quel point j’ai pu douter de moi et m’autosabotter. L’image que j’ai presque toujours eu de moi était irréelle. En fait, elle était bâtit sur des expériences du passé auxquelles j’avais attribué un sens négatif, sur des commentaires et des jugements reçus lorsque j’étais enfant, sur les valeurs prônées par la société, sur un système d’éducation qui encourageait la performance et l’excellence lorsque j’étais adolescente. Cette image négative que j’avais de moi-même a fait en sorte que j’ai grandi dans la peur du rejet. Pour être aimée, j’avais le sentiment que je devais être un enfant, une élève, une amoureuse, une amie, une maman, une employée et une citoyenne exemplaire. Je devais travailler fort, toujours faire de mon mieux et même plus pour avoir du succès et de la reconnaissance. Savez-vous quoi ? Cela fonctionnait pour moi. J’avais du succès dans tout ce que j’entreprenais. J’étais aimée et reconnue par beaucoup de gens pour mon dynamisme, la qualité de mon travail et mon implication. Toutefois, mon abus de travail et de perfectionnisme a fini par avoir un impact sur ma santé mentale parce que je me mettais trop de pression, que je travaillais sans limite et parce que je ne prenais pas suffisamment soin de moi-même. Heureusement, à travers les années, la vie s’est chargée de m’envoyer quelques signaux pour me faire comprendre que je devais m’accorder plus d’attention. Aujourd’hui, je suis ma priorité #1 dans la vie. J’ai compris que pour aider les autres, je devais d’abord prendre soin de moi.
ma première prise de conscience que je devais prendre soin de moi, grâce à une rupture amoureuse
J’ai connu ma première et unique rupture amoureuse à l’âge de 25 ans. Après 12 ans de relation, j’ai pris tout un coup dans la figure lorsque que mon conjoint m’a appris qu’il me quittait. Aujourd’hui, je considère cette rupture comme un cadeau. Mon ex a eu raison de mettre fin à notre relation car il n’était plus heureux. De mon côté, je le savais bien qu’il y avait des choses qui clochaient, mais je refusais de les voir et de les admettre. J’étais bien dans mes vieilles pantoufles et je n’aspirais pas vraiment à plus. Ma situation n’était pas parfaite, mais confortable. Heureusement, j’ai eu la chance d’avoir de merveilleuses personnes autour de moi pour m’aider à passer à travers cette épreuve, notamment une travailleuse sociale. De mon côté, la solution que j’ai trouvée pour guérir était de prendre soin de moi. C’est donc à cette époque-là de ma vie que j’ai renoué avec l’activité physique et que j’ai amorcé ma démarche de transformation physique. Au point de vue sentimental, j’ai compris que mon ancien conjoint et moi, nous n’avions pas su entretenir la flamme à travers les années. Nos emplois et nos implications communautaires prenaient toute la place dans nos vies. Je me suis donc fait la promesse de prendre davantage soin de ma future relation de couple. Aujourd’hui, j’ai beaucoup de gratitude pour ce bel apprentissage de la vie car j’évolue au sein d’une relation qui est très positive.
mes débuts difficiles dans mon nouveau rôle de maman :
En 2013, suite à la naissance de mon premier enfant, j’ai fait un post-partum. Je ressentais un vide à l’intérieur de moi que je ne pouvais pas expliquer car j’avais tout pour être heureuse, un bébé en santé, un conjoint aimant, de bons amis, de l’argent et de l’aide de mes proches pour me libérer de mes responsabilités parentales de temps en temps. J’avais peur d’en parler parce que je me sentais différente des autres et parce que j’avais peur du jugement. J’avais l’impression de me plaindre pour rien. Je me comparais aux autres mamans de mon entourage. Je les percevais plus calme, expérimentée et heureuse dans leur rôle. J’ai parlé de mes sentiments et de mes inquiétudes à mon médecin qui m’a dit que j’avais des problèmes d’adaptation à ma nouvelle vie. Il faut dire qu’à l’époque, mon conjoint était souvent à l’extérieur de la maison, que je me retrouvais seule avec le bébé et que je souffrais de solitude. Pour m’en sortir, j’ai pris soin de moi. Je me suis inscrite à des cours de cardiopoussette et d’aquapoussette dans la ville la plus proche. Cela m’a permis de me remettre en forme et de perdre du poids. Je me suis aussi libérée de certaines tâches et engagements. J’ai engagé une femme de ménage et j’ai mis des implications communautaires de côté. Ma santé mentale prenait du mieux, mais demeurait quand même fragile. À cette époque, j’avais une bien faible estime de moi-même par rapport à mon rôle de maman. J’accordais tous les mérites à mon chum qui, lui, avait dont le tour avec le petit. Heureusement, mon chum ne m’a pas laissé me dénigrer et j’ai pu compter sur son amour ainsi que sur son support moral. Nous faisions souvent des sorties de couple pour nous faire du bien. Avec du recul, j’ai compris qu’une thérapie ou des rencontres avec d’autres femmes qui vivaient les mêmes émotions que moi m’auraient fait du bien.
Je mets enfin un mot sur mes maux : l'Anxiété!
J’ai hésité un bon moment avant d’avoir un deuxième enfant. Pourquoi ? Parce que j’avais peur de faire un autre postpartum et qu’il m’arrivait encore de douter de moi par rapport à mes compétences de maman. J’ai fini par lâcher prise, par reconnaître un peu plus ma valeur et c’est ainsi que je suis tombée enceinte de mon deuxième fils. Aussitôt que j’ai débuté mon congé de maternité, j’ai amorcé ce que j’avais baptisé « une démarche préventive » avec une psychologue. Je ne voulais pas souffrir de nouveau et j’avais compris que j’avais besoin de parler de mes émotions et de mes sentiments à quelqu’un. Alors, pourquoi pas à une psychologue ? Elle a vite compris que je faisais de l’anxiété. C’était évident dans mon discours. « J’ai peur de déranger mes beaux-parents si je leur demande de l’aide, j’ai peur de perdre ma place au travail, j’ai peur de transmettre mon anxiété aux enfants, je ne sais pas comment je vais faire pour concilier travail et famille lorsque je vais retourner au travail ». J’avais parfois de la difficulté à profiter du moment présent car j’anticipais beaucoup le futur et je faisais de la rumination mentale par rapport à cela. Cette thérapie a été un très beau cadeau que je me suis offert car j’ai été supporté mentalement tout au long de mon congé de maternité. Ma thérapeute m’a fait comprendre que nous étions de nombreux humains à souffrir d’anxiété sur la terre et que je pouvais quand même avoir beaucoup de succès dans ma vie si j’apprenais à l’accueillir et à la traiter. Je garde un merveilleux souvenir de ce deuxième congé de maternité passé avec mes deux fils. J’avais pris beaucoup de confiance en moi, j’avais du plaisir à m’amuser avec mes petits garçons et qui plus est j’étais au summum de ma forme physique. Mes journées consistaient à m’entraîner, faire une sieste, m’occuper et m’amuser avec mes enfants. J’avais perdu énormément de poids, je me trouvais jolie et j’étais bien dans ma peau. J’avais découvert les programmes d’entraînement « Beachbody » que l’on peut faire à la maison et avec lesquels je m’entraîne encore aujourd’hui. C’est aussi à ce moment-là de ma vie que j’ai entendu parler pour la première fois de « développement personnel ».
Malgré tout, une grande fatigue parvient à s'installer
Après mon second congé de maternité, mon conjoint et moi, nous avions convenu que j’allais reprendre mon travail d’agente de développement rural à temps partiel. Ça allégerait mon emploi du temps et me laisserait plus de temps avec les enfants. Mon employeur, étant très compréhensible, avait accepté ma demande. Toutefois, la réalité en a été autrement. Ayant toujours eu de la difficulté à dire non et à mettre mes limites, je faisais de nombreuses heures accumulées à chaque semaine. Mon rôle étant d’aider des municipalités à réaliser toutes sortes de projets, j’aidais un peu trop. Je rédigeais, entre autres, de nombreuses demandes de financement, ce qui me mettait de la pression sur les épaules car elles venaient avec des échéances à respecter. Je mettais un temps fou à rédiger chacune d’elles car je voulais qu’elles soient parfaites. Mon travail était porteur de résultats positifs. Les personnes que j’aidais étaient très heureuses de mon travail. Toutefois, moi, je perdais de l’énergie au jour le jour parce que je travaillais souvent tard le soir, parce qu’il m’arrivait de travailler le week-end et parce que je faisais de l’insomnie la nuit. Pendant ce temps-là, j’étais aussi stressée et anxieuse. Même si j’aimais mon travail, je me disais qu’il fallait que j’apporte des changements à ma vie. Je croyais fermement que le besoin des municipalités était de pouvoir compter sur une agente de développement disponible pour eux en tout temps. Pendant ce temps là, je croyais aussi que mon rôle de maman était d’être à la maison pour mes enfants le soir. Je me sentais coupable d’être peu présente pour eux et de demander constamment de l’aide à ma belle-famille pour garder lorsque mon conjoint voyageait pour le travail. Je remettais beaucoup mon style de vie en question et je n’en pouvais plus de vivre sur le respirateur artificiel. A cette époque là, je ne comprenais pas encore que j’étais RESPONSABLE de ce qui m’arrivait parce que je ne savais pas mettre mes limites. Toutefois, je comprenais l’importance de prendre soin de moi alors je relevais des défis sportifs et j’utilisais mes outils de développement personnel pour tenter de trouver un sens à ma vie.
Le livre qui m'a influencé à apporter des changements et qui a bouleversé ma vie
Ce livre, que j’ai lu une bonne dizaine de fois, invite les lecteurs à partir à la découverte d’eux-mêmes et à transformer leur propre existence notamment en répondant aux trois questions suivantes : Pourquoi êtes-vous ici ? Craignez-vous la mort ? Êtes-vous pleinement épanouis ? Pour être plus précis, pourquoi êtes-vous ici signifie plutôt pourquoi je suis en vie, qu’est-ce que je suis venu faire sur la terre, quel impact que je veux avoir dans la société, qu’est-ce que je veux accomplir avant de mourir. Si nos réponses ne concordent pas avec ce que nous faisons dans le présent, c’est qu’il est temps de travailler sur nous-mêmes. En ce qui me concerne, ça l’a pris un bon quatre ans de réflexion avant que je sois en mesure de répondre à cette première question de façon totalement éclairée. Ma réponse évoluait avec le temps. Non seulement je ne savais pas quel était ma raison d’être, mais je ne savais même plus qui j’étais réellement. Je me sentais un peu confuse et perdue. En ce qui concerne la deuxième et la troisième question, l’auteur stipule que si nous craignons la mort, c’est que nous ne sommes pas totalement épanouie dans la vie et que nous ne vivons pas en harmonie avec nos valeurs. En fait, nous aurions probablement des regrets si nous étions sur notre lit de mort car nous n’aurions pas vécu la vie souhaitée que ce soit sur le plan professionnel ou personnel. Et voilà! Bang! Clairement, à cette époque, j’aurais eu beaucoup de regret si on m’avait annoncé qu’il me restait peu de temps à vivre car ma vie n’avait plus vraiment de sens pour moi. Tout ce que je faisais, c’était de vivre en mode pilote automatique. Alors oui, je craignais la mort et non je n’étais pas épanouie du tout. C’est en tentant de répondre à ces trois questions que j’ai débuté ce que l’on pourrait appeler une quête identitaire. Ce n’est pas vrai que Mélanie Nadeau allait avoir des regrets sur son lit de mort. J’étais capable de tout accomplir et j’allais m’y mettre sur le champ à condition de savoir qui j’étais vraiment et ce que je voulais faire du reste de ma vie. Je me suis posée de nombreuses questions pour redéfinir qui je suis : Qui suis-je ? Qu’est-ce que j’aime ? Qu’est-ce qui me passionne ? Quelles sont mes qualités ? Quelles sont mes valeurs ? Qu’est-ce que je veux faire du reste de ma vie ? Quels sont mes rêves ? Qu’est-ce qui m’excite ? Qu’est-ce que je pourrais faire pour améliorer mon existence ?
Un changement professionnel important et primordial pour mon équilibre personnel
Consciente que je me dirigeais vers un épuisement, j’ai appliqué sur un emploi à temps partiel à Postes Canada. C’est ainsi que je suis devenue Maître de poste à raison de 20 heures/semaine. Ce virage professionnel a déstabilisé beaucoup de monde autour de moi. Les gens avaient peur que je m’ennuie. Moi aussi, j’avais peur, mais ma petite voix intérieure me disait qu’il fallait que j’essai quelque chose de nouveau pour me sortir de cette fatigue mentale qui me paralysait, que je passe à l’action même si j’allais perdre beaucoup en matière de conditions de travail. J’avais besoin d’un « break » mental, de prendre du recul, de m’accorder plus de temps, de faire le ménage, de me reconstruire, de prendre soin de moi et de ma famille. Je ne voulais pas que le burnout ou la dépression frappe à ma porte pour enfin agir. A force de me rappeler pourquoi j’avais appliqué sur cet emploi, être plus présente pour mes enfants, j’ai décidé d’accepter le poste. Apprendre un nouveau métier m’a fait beaucoup de bien. J’ai rapidement pris goût aux tâches, notamment au service à la clientèle ainsi qu’au fait que mon cerveau était libéré de toutes pensées à la fin de mes journées.
la naissance d'une idée de création d'entreprise
J’ai longtemps eu la croyance limitante que je ne pouvais pas être à la fois entrepreneure et maman, qu’il fallait travailler très fort, voir souffrir pour démarrer une entreprise à succès. A un moment donné, je me suis arrêtée pour analyser cette pensée négative et je me suis donnée le droit de rêver à cette possibilité de me démarrer une entreprise à mon image et pleine de sens. Les nombreux exercices de développement personnel que j’ai fait au cours des dernières années ont été grandement utiles pour m’aider à évoluer dans le processus de création, mais ce fut long, très long, parce que je laissais mon esprit dériver vers toutes sortes d’autres projets stimulants.
mais un esprit qui s'égare encore une fois de sa vision
En fait, je faisais de la procrastination dans le démarrage de mon entreprise parce que je continuais de vivre en fonction de mes anciens « paterns ». Je m’impliquais beaucoup dans la communauté. Au lieu de prendre soin de moi, je continuais de faire du développement, mais de façon bénévole. Une fois de plus, je n’avais pas tirée leçon de mes expériences antérieures. Je me suis impliquée dans l’organisation du centième anniversaire de mon village, dans l’aménagement d’un parc et dans l’organisation d’une fête de Noël. J’ai aussi été l’instigatrice d’un événement hivernal qui s’appelle le « Tour du Lac » . Finalement, j’ai milité pour le maintien de l’école primaire où je souhaitais envoyer mes enfants. Avec d’autres parents, nous avons élaboré un super projet d’école innovante pour nous aider à attirer de nouveaux résidants et augmenter la clientèle scolaire. J’ai fait un énorme don de moi-même en m’investissant dans ce dossier émotif et politique. Malheureusement, nous avons perdu notre bataille et l’école a fermé ses portes. Ce fut un coup très dur pour moi qui avait investi énormément d’énergie. A ce jour, ce fut certainement un des plus gros deuils de ma vie. J’ai été éprouvée par les événements. Croyant et m’impliquant avec ardeur, au développement des petites communautés rurales, je ne pouvais pas accepter qu’on ferme une école primaire, surtout pas celle de mes enfants. Cette bataille m’a rendu triste et colérique à un point tel que je ne me reconnaissais plus. Comme j’accorde énormément d’importance à l’éducation, cela venait aussi remettre en question ma vie à la campagne. Après cet épisode douloureux, j’ai ressenti le besoin de demander de l’aide pour me refaire une santé. Il fallait que je lâche prise, que je guérisse et que je poursuive ma vie vers quelque chose de plus positif. Ma psychologue a utilisé la thérapie EMDR (Eye Movement Desencitization and Reprocessing) pour me traiter. Elle a fait des petits miracles avec moi. Au début, nous avons traité mes émotions en lien avec la crise de l’école, mais rapidement, nous en sommes venus à guérir toutes sortes de blessures du passé qui m’empêchaient d’être complètement libre et épanouie. J’ai appris que toutes les émotions que nous ne prenons pas le temps de vivre s’enfuissent en dedans de nous et nuisent à notre croissance personnelle. Je vous assure que ma psychologue m’a aidée à faire un grand ménage interne tout à fait incroyable. Mon verre d’eau débordait. Il fallait que je le vide et que je retrouve la paix à l’intérieur de moi. Même si cette épisode a été éprouvante, j’en retire tout de même du positif. J’ai appris beaucoup de choses sur moi-même, notamment sur ma force de caractère, ma persévérance et ma résilience.
Je mets enfin en place ma nouvelle philosophie de vie
Les principes développés dans ce livre, comme la raison d’être et les cinq grands rêves de vie, ont changé ma vie. Maintenant que j’ai identifié ma raison d’être et mes 5 rêves de vie, je partage mon temps dans l’atteinte de ceux-ci. Tout ce travail réalisé sur moi-même m’a permis de définir ma propre identité et de fixer mes barèmes sur la vie que je veux mener. Avant j’avançais sans savoir exactement où je voulais aller, qui j’étais et ce que je voulais accomplir. Désormais, je sais ce que je veux, j’ai enfin l’impression d’être alignée et de vivre en harmonie avec mes valeurs, mes passions et mes intérêts. Quelle richesse ! Actuellement, si l’on me propose quelque chose qui ne cadre pas avec mes 5 rêves de vie, je refuse. Dans mon agenda, toutes mes actions sont planifiées en fonction de ces derniers. J’ai enfin compris que j’étais la personne la plus importante de ma vie et que ma santé était ma priorité #1. Mes propos peuvent paraître égoïstes, mais mes expériences m’ont appris que je suis une bien meilleure maman, conjointe, amie, employée et bénévole si, d’abord, je prends soin de moi. Ça m’a pris un temps fou à comprendre cela, mais aujourd’hui c’est de plus en plus acquis et intégré dans mon quotidien. Mes entraînements, mes méditations, mes séances d’écriture et de lecture sont inscrites à mon agenda. Je les vois comme des engagements que je prends envers moi-même au même titre que mes rendez-vous personnels et professionnels. Je travaille fort à les respecter car après tout, ma santé est ma priorité #1. . Heureusement, j’ai compris qu’il fallait que j’investisse sur moi-même pour devenir une grand leader positive. Tout ce travail était une étape nécessaire au prédémarrage de mon entreprise. Le chemin que j’ai marché était loin d’être parfait, mais je suis fière de mon parcours et de mon évolution comme humain. Aujourd’hui, je ressens une profonde gratitude pour toutes les difficultés que j’ai rencontrées dans ma vie ainsi que pour les apprentissages que j’ai su en tirés.
pour devenir une femme libre, pleinement accomplie et épanouie
Aujourd’hui, je me sens tellement bien et alignée. J’ai beaucoup de plaisir à développement mon entreprise de santé et mieux-être.
Je suis fière du travail que j’ai fait sur moi-même, de ma résilience, de ma détermination et de ma persévérance. J’ai réussi à me créer une entreprise à mon image et pleine de sens. Cette entreprise est totalement qui je suis. Elle a été créée dans le respect de mon identité, de mes valeurs, de mes qualités, de mes passions et de mes talents.
Cette entreprise me permet de m’accomplir professionnellement et de réaliser mes rêves de vie qui sont de prendre soin de ma santé, de prendre soin de mes relations, de vivre des expériences professionnelles et personnelles stimulantes, de faire des découvertes au Québec, au Canada et à travers le monde et de faire de nouveaux apprentissages tout au long de ma vie.
J’ai beaucoup de plaisir à vous transmettre mon savoir, à vous faire connaître des intervenants passionnés et passionnants dans les domaines de la santé et du mieux-être, à vous proposer différentes activités et formations pour prendre soin de vous et à faire une différence positive dans votre vie.
Comment je peux t'aider ?
J'aide des hommes et des femmes à prendre soin d'eux, à devenir leur priorité #1 dans la vie, à s'accomplir pleinement et à s'épanouir.